Expo Kandinski au Tate. Pas qu'on en mourrait d'envie mais bon, a) Maïté doit avaler une expo par semaine, la digérer et la restituer au niveau de ses impressions, de l'inspiration que celui lui donne, etc... b) notre baptême du Tate, du moins pour Claude, Quentin et moi, c) Maïté assez fière de nous "inviter" à une expo dans "sa" ville.
Et puis, c'est vachement cher la culture, 33 £ pour nous 5, gasp, faut vouloir. Soit....
Il faut ensuite faire passer la pilule de l'art abstrait, surtout à Quentin, qui avait déjà pris la pose "fait chier", mains dans les poches, épaules voûtées, lippe boudeuse, regard noirâtre.... Résultat, j'ai lancé le jeu de kesketuvoilà et on s'est marrés tous les deux comme deux gosses. La mère et le fils hilares au milieu de gens très sérieux, à l'oeil artistique acéré, et nous deux en train d'imaginer plein de choses dans chaque tableau. Je vous mets au défi dans celui-ci de retrouver une pantoufle et une botte. On a continué toute l'expo sur le même mode. Bon, ce n'était pas très orthodoxe mais c'était passionnant et drôle et surtout, on n'oubliera rien de Kandinski. La culture revue et corrigée....
Facile: botte de sept lieues ou oubli de d'Artagnan, la pantoufle avachie style La Glanerie après dix ans de vie et quelques tontes...
Rédigé par : claude | 09 octobre 2006 à 14:19