"Biche, oh ma biche, lorsque tu soulignes au crayon noir tes jolis yeux", "Lady Lay Lady Lay", "Le prix des allumettes", "Emmène-moi danser ce soir", "L'enfant et l'oiseau", "Butterfly", .....
La nostalgimania a encore frappé.
Rika Zaraï, Pierre Groscolas, Daniel Gérard, Patrick Juvet, Frank Alamo, Stone et Charden, Demis Roussos, Jean-François Michaël, Patrick Topaloff, Michèle Torr, Pascal Danel, Georges Chelon, Marie Myriam au programme d'un concert de 4 heures.
Déjà sur scène, ils sont pas très frais. Tous entre 60 et 70 ans. Gris, chauves, teints ou pire, perruqués pour les hommes. Bedonnantes ou imposantes pour les dames.
Dans la salle, un rien plus jeunes, entre 50 et 60 ans. Mais bien pire encore dans le dégradé.
Mais qu'est ce qu'on fiche ici, nous ? Je ne me reconnais pas du tout dans mes voisins. J'ai presque envie de m'en aller.
Et puis, finalement, si on ferme les yeux, c'est mieux. La voix n'a quasi pas changé. L'humour est là, un peu vieillot chez certains mais ça passe. Et d'autres encore, ont évolué et offrent en bonus quelque chose de nouveau, de beau, de plus mûr.
Allez, j'assume, j'aime le ringard. C'est comme ça. Et oui, j'ai chanté avec tout le monde, parce que je connais TOUTES les paroles PAR COEUR.
Il ne me manquait que Mort Shuman, Carlos et.... C. Jérôme.
Ce que l'on aime tant dans cette ringardise, c'est justement de pouvoir chanter de bon coeur ces chansons que l'on connaît depuis... toujours (?!)
Rédigé par : Isa | 01 février 2008 à 20:56