Là, ça commence à bien faire. Je suis submergée de boulot. Révision budgétaire pour le dernier trimestre. Préparation de tests écrits pour une sélection de candidats. Préparation d'une présentation des activités Ressources humaines par une équipe qui déteste parler en public. Lancement des exercices de promotion. Réorganisation de la moitié des fonctions de l'équipe. Tout ça avec des échéances simultanées et immédiates. Vient se greffer là-dessus un exercice de crise et de continuité des opérations, lancé par définition à l'improviste comme les exercices incendie - sauf que ça dure deux jours -. Comme si on n'avait vraiment rien d'autre à faire. Et un vol de portefeuille dans les transports en commun, mercredi soir, pour couronner le tout. Découvert vers 23h30 seulement quand le fils se souvient soudainement qu'il aurait besoin de quelques euros.
Je suis vidée, lessivée, mon corps crie grâce et pouce. Mais je lui intime le silence. Et je me dis que si j'arrive à tenir comme ça, c'est probablement et d'une part parce que ma vie familiale est plutôt stable - un de mes collègues est en train de divorcer et n'arrive pas à vraiment travailler; je me projette dans sa situation et je sais que je serais totalement incapable de fonctionner ne fût-ce que normalement au boulot - et d'autre part parce que je suis une totale optimiste, une adepte du verre à moitié plein, une Scarlett - demain est un autre jour - et que je sais que demain ça ira mieux.
Alors courage belle Scarlett!
Et bonne semaine à toi?
Où en es-tu de tes examens? Bientôt les résulats?
Rédigé par : verveine | 10 octobre 2010 à 21:25
J'attendais ton billet, je me doutais que ton premier paragraphe écrirait mes semaines, à quelques nuances près ;-) Et je partage entièrement ton avis, la stabilité familiale est un atout majeur du bien-être professionnel.
Je vois "la vie d'une autre" dans tes lectures, tu as aimé ? j'avais trouvé l'histoire intéressante mais l'écriture plutôt moyenne...
Rédigé par : isa | 10 octobre 2010 à 23:05
Mais tu es ma soeur!? incroyable ces similitudes.
Merci de ton passage chez moi. Je suis dans la tempête moi aussi.On se tient les coudes. Et t'en fais pas , mon petit cadeau n'attendait pas spécialement de retour. En tous cas rien ne presse.
Rédigé par : celestine | 11 octobre 2010 à 00:26
Ouais, je vois ça: ton emploi du temps est assez serré... pas moyen de déléguer? Je peux reprendre un de tes chantiers si tu veux :-) Chez moi c'est plutôt calme après toutes les tempêtes que nous avons connues, mais je sais que dans quelques semaines ça va recommencer... Courage courage, un dossier après l'autre et la pile diminue tel le verre encore plein... Bisous de Bruxelles
Rédigé par : delphine | 11 octobre 2010 à 18:38
Attention quand même à ne pas trop tirer sur la corde ! Le verre pourrait bien se vider d'un coup... et Scarlett devenir ronchon !!!
Bon courage en tous cas et .... j'espère que cela se calmera vite pour toi !
Rédigé par : liaht | 12 octobre 2010 à 12:08
Demain est peut être un autre jour mais si ton corps crie stop, tu l'écoutes (c'est une question de politesse vis à vis de ton corps :)), parce que ce n'est pas parce que tu as une vie stable etc etc que tú dois tout porter ! Sur ce Scarlett, bonne semaine quand même !
Rédigé par : ms | 12 octobre 2010 à 13:29
Hier je suis passée dans l'intention de te mettre un message d'encouragement...pas moyen d'ouvrir la boite à commentaires.
Aujourd'hui, me voilà... je te souhaite d'en sortir le mieux possible et je t'embrasse
Rédigé par : Coumarine | 12 octobre 2010 à 22:30
Verveine: ça y est, ça y est, c'est bon ! Pfiou.
Isa: j'ai bien aimé l'idée mais j'ai quand même eu un peu de mal à y croire vraiment. Et effectivement, écriture très moyenne.
Sister Cel: Oui, je sais que cela n'attendait pas de retour mais j'en avais envie et je suis frustrée du manque de temps.
Delphine: profite du calme et emmagasine des forces avant les prochaines tempêtes.
Liaht: Et Scarlett ronchon, c'est pas de la tarte.
MS: C'est bien le dernier à qui je fais des politesses :-)
Merci Coum' :-)
Rédigé par : myosotis | 13 octobre 2010 à 11:28