Quel temps pourri ! Alors que d'autres pleurent pour qu'il pleuve, nous implorons le soleil de revenir. Le gris du ciel et le manque de lumière minent le moral. On ne parle plus que de ça. Rien de nouveau bien sûr, les humains adorent parler météo et rarement en bien. Mais là, j'avoue, cela va bientôt faire 9 mois qu'on n'a pas dépassé les 20 degrés grand maximum. Pour tout dire, l'été s'annonce dans 3 jours et on en est encore à faire flamber quelques bûches en soirée. Franchement, on a connu des jours meilleurs.
Mais bon, dans mon coeur, l'arc-en-ciel au beau fixe. Un carrousel de pioux tout au long de la semaine: Jules et Sam, mercredi après-midi, tant que Mamy et Grand-Père sont au Portugal; Sappho toute la journée de samedi, histoire de fêter son anniversaire à nous trois - au programme, spaghetti carbonara au resto, découverte des maisons de la Grand-Place et de leurs symboles, musée de l'illusion, belle découverte, musée des figurines de BD et immersion totale dans l'univers de Magritte - je ne sais pas qui, d'elle ou de nous, a le plus adoré cette journée; samedi soir et dimanche, Jules, Sam et Amalia pour la nuit et la matinée de dimanche; lundi soir, Maoh et Oona sont venus dîner avec leurs parents et Sappho et Lémoni qui passaient par là avec les leurs sont également restés. Il se peut qu'à l'adolescence, ce carrousel se fatiguera et j'en profite donc pleinement maintenant. Mais peut-être pas, l'avenir dira.
Au milieu de tout cela, j'ai glissé une journée à Paris avec Vero, un petit bonheur jamais démenti. Un déjeuner dans un resto vegan, absolument délicieux, et une expo sur les Impressionnistes au musée d'Orsay. J'aurais pu rester là des heures mais mes genoux déficients et mon dos compote de pommes n'en pouvaient plus.
Bref, encore une de ces semaines ensoleillées malgré elles.
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