Entre le 31 août et le 1 septembre, le fossé a été énorme. Malgré le léger frémissement du téléphone et de la boîte à messages, l'atmosphère hier était encore détendue. Le retour de vacances des premières rentrées au boulot s'est fêté à grand renfort d'embrassades, de comparaisons de bronzage, de biscuits et chocolats rapportés des différents coins de l'Europe, de "raconte-moi comment se sont passées tes vacances ?", "Et toi, comment vas-tu ?", "Et ici comment c'était ?". Je suis toujours émerveillée de voir à quel point toute cette équipe est contente de se retrouver. Même la météo s'est mise au diapason et le soleil était vraiment radieux.
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Bienvenue au club ! C'est la 3e semaine que j'enchaîne à ce rythme... Mais c'est fou, non ? Je n'avais pas besoin de ce stress pour me sentir vivante pendant les vacances. J'ai vraiment le sentiment que nous faisons fausse route...
Rédigé par : Isa | 02 septembre 2009 à 22:42
C'est fou comme on peut basculer si radicalement en même pas 24 h d'un état à un autre.
Je suis tellement d'accord avec Isa...
Bon courage :)
Rédigé par : verveinecitron | 03 septembre 2009 à 21:03
C'est vrai, je me sentais bien vivante sans tout ce stress, pendant les vacances. En même temps, une ou deux semaines de bulles au boulot, ça va, mais au-delà, je pourrais pas tenir longtemps, enfermée au boulot à ne rien faire.
Rédigé par : myosotis | 03 septembre 2009 à 21:27